Notes généalogiques

NOTES: 

1. Arch. communales de Saint-Remy, registre des sépultures, 31 août 1687, mention de l'inhumation dans l'église paroissiale.

2. Arch. nat. , Min. centr. des notaires, étude LI, mention du contrat au répertoire, 12 octobre 1672 ; les minutes de cette année ne sont pas conservées. Expédition délivrée d'après cette minute le 6 mai 1782 par le notaire Arnaud : Bibl. nat. , Cabinet des titres, Carrés d'Hozier 588.

3. Dans un acte de tutelle du 20 mai 1663 (registres de tutelle de paris), Marquise DUPUYS veuve SURIREY est alors mère de 5 enfants mineurs.

4. Pierre de CLINCHAMP fils de Jacques,sieur des Aulnes de CLINCHAMP &  de Françoise des BUATS 1648. Cette famille de Clinchamp est également installée en Basse Normandie. Il est par ailleurs intéressant de noter que l'une de leurs filles s'est mariée à St-Rémy-sur-Orne (le 14 septembre 1724  avec Jean BOTTET), les liens avec la Normandie étant donc encore bien établis à cette époque.

5. Au cours de l'année 1700, elle assiste, auprès de son frère, à l'une des conférences littéraires qui se tiennent chez " Mademoiselle Lhéritier " ; le compte-rendu de la réunion la désigne comme " la sœur de M. de Saint Remy, qui est une des dames de la communauté de l'hostel de Saint Chaumont, proche la porte Saint Denys " (Bibl. de Grenoble, papiers Tricaud, ms 980, p. 260 ; cf. ci-dessous, note 24 ).

6. Voir notices dans les grands dictionnaires biographiques, principalement Michaud, Biographie universelle... ( 1825, t. 40, p. 96, puis réédition ) et dans les ouvrages propres à la Normandie : Théodore Lebreton, Biographie normande, 3e vol., Rouen, 1861, p. 407 ; N.-N. Oursel, Nouvelle biographie normande, t. 2, Paris, 1886, p. 462).

7. Inventaire après décès : Arch. nat. , Z 1M 37, n) 4, 25 décembre 1716.

8. Sur François Hénault, ses origines, les étapes de sa carrière et sa descendance, voir : Jean-François Solnon, 215 bourgeois gentilshommes au XVIIIe siècle, les secrétaires du Roi à Besançon, Besançon et Paris, 1980, p. 342-343.

9. Les parents de la mariée habitent à Saint-Germain -des-prés-lès-Paris, rue des Fossés, paroisse Saint-Sulpice. Le contrat stipule que la mariée recevra la moitié des gains du commerce de lingerie qui se fait en la boutique de sa mère.

10. Inventaire après décès de " dame Marie Magdeleine Hénault, femme du sieur de Saint Remy ", 24 mars 1708 (sic) : Arch. nat. Z 1M 36, n° 18, fol. 1 v°.

11. Contrat de mariage du 9 mai 1707 : Arch. nat. , Min. centr. , CVII, 299.

12. Ou le 20 août ( erreur de lecture possible ) ; à Paris ; baptisée le 21 à Saint-Paul ; décédée le 28 avril 1748, inhumée le 29 à Montblanc, Hérault. ( documents H. de Vergnette ). .

13. Contrat du 10 août 1698 : Arch. nat. , min. centr. , CV, 961. Mariage le 27 août à Saint-Eustache. ( Documents H. de Vergnette ).

14. Fils de Nicolas Le Moine et de Madeleine Le Père. Né à Paris le 23 mai 1655, baptisé à Saint-Sulpice en janvier 1656: décédé à Montpellier le 12 octobre 1719 ( Documents H. de Vergnette ). Chargé de missions diplomatiques de la plus haute importance, il assista en 1713 aux conférences qui amenèrent la pacification de l'Europe par le traité d'Utrecht. Son père, Nicolas le Moine, étant lui-même frère et beau-frère de Marie Le Moine et de François Hénault, René Le Moine était cousin germain de la mère de son épouse, Marie-Madeleine Hénault, fille de François Hénault et épouse de Pierre Surirey de Saint Remy.

15. Arch. du notaire Bellonet, à Montpellier, 15 avril 1719, acquisition du château, terre et seigneurie de Margon. (Documents H. de Vergnette.)

16. Décédée avant le 30 avril 1744, date du second mariage de son époux.

17. Contrat du 21 février 1705 : Arch. nat. , Min. centr. CV......... ; expédition authentique du contrat, en date du 2 août 1728, conservée dans les archives de la famille.

18. Né à Caen le 20 septembre 1681, mort vers 1752. Fils de Jean-Jacques Fortin, écuyer, et de Jacqueline de Boutroze (contrat de mariage et généalogie manuscrite du XVIIIe siècle conservés dans les archives de la famille ).

19. Est aussi dit " seigneur et patron de Maltot " ( généalogie manuscrite citée), seigneur de la Cour, de Silly, de Vieux Fumé et autres lieux et acquéreur, en 1720, du fief Beuville, puis du fief l'Abbesse (H. Navel, Monographie de Feuguerolles-sur-Orne ( Calvados )... Caen, 1929, p. 217-218 et 236 ).

20. H. Navel, op. cit., P. 217-218.

21. Elle est déclarée sous tutelle de son père lors de l'inventaire après décès de sa mère, le 24 mars 1708 : Arch. nat. , Z 1M 36, n°18, fol.1.

22. C'est ainsi qu'il est qualifié dans l'acte de baptême de son fils Pierre Jean-Baptiste Angélique, le 5 décembre 1710 : Bibl. nat. , ms fr. 32592 paroisse Saint-Sauveur.

23. Jean-Baptiste Habert d'Orgemont intervient à l'inventaire de 1716 comme tuteur de son fils et de " feu dame Françoise Angélique Surirey de Saint Remy, son espouze ".

24. Acte de mariage du 30 avril 1731 : Bibl. nat. , ms fr. 32591, paroisse Saint Paul.

25. Acte de baptême du 3 avril 1715 : id. , ibid.

26. Arch. nat. , Z 1M 37, n°4, fol. 5.

27. Voir à ce sujet: "Vie privée de Louis XV, ou principaux événements, particularités et anecdotes de son règne" Anonyme, Londres, 1783, 6 vol-in-12.

28. Robert, Marquis de Pierrepont, Baron de LIEVRAY, seigneur de SAINT NICOLAS DE PIERREPONT, ESCOLLEVILLE, BAUDREVILLE, OURVILLE, BEAUCHAMP &tc (1675 ?-29 06 1751), ancien enseigne au Régiment des Gardes Françaises, veuf d'Anne Victoire de SAINT CHAMANS (1700-1734) . Issu d'une très ancienne famille normande dont l'aïeul le plus ancien est Robert de Pierrepont qui accompagnait Guillaume le Conquérant en 1066, il est fils de Jacques Alexandre de PIERREPONT et Catherine du FAY de VERGETOT. Le joli manoir du Parc à St Lo d'Ourville encore visible dans le Cotentin lui appartenait.

29. Louis Robert Charles Malet Marquis de Graville, seigneur de CRAMESNIL, guidon des gendarmes de Berry en 1746, enseigne de la compagnie des gendarmes de Bourgogne en 1748, commandant d'une brigade de gendarmerie, chevalier de Saint Louis; lors des festivités de leur mariage, les feux de réjouissance auraient incendié le château de Crasmesnil.

30. Jérôme SIMON de COEUR est décédé à METTET le 2 juin 1740. Il était professeur de médecine et médecin accoucheur de la reine d'Espagne Élisabeth Farnèse seconde femme de Philippe V. Il obtint des lettres de noblesse espagnole en 1729 "pour luy & ses descendant, avec les mêmes honneurs & prérogatives dont jouïssent les Titrés de Castille", (in "Mercure de France" Décembre 1729 p.3149) . Extrait d'une note (assez approximative) rédigée par Hippolyte de Surirey de Saint Remy sous le titre "renseignements de famille": "... Monsieur de BOISSY (Louis-Michel de Surirey de Saint Remy) fit connaissance de Madame de Coeur de Scry, habitante et propriétaire dans l'entre Sambre et Meuse; elle était veuve de Monsieur Jérôme Simon de Coeur, qui en Espagne était accoucheur de la femme de Phillipe V et tellement en faveur qu'il avait fait fortune et excité la jalousie au point qu'il fut empoisonné et ne put jamais reprendre sa santé. Dans un voyage qu'il avait fait d'Espagne dans son pays, il avait vu ma grand-mère, mademoiselle de Henry, et il en devint amoureux pour sa beauté. Comme il était riche, elle l'épousa. Il eut d'elle cinq enfants: un fils qui est resté en Espagne, s'y est marié et y est mort laissant une fille qui est morte aussi sans être mariée,... deux filles qui ont été ursulines à Saint-Denys, une autre mademoiselle de Scry, et enfin une dernière qui a été notre mère. C'est par Monsieur Simon de Coeur que nous sommes parents très éloignés des Simon de Lisogne". "Mademoiselle de Scry" est Philippe Elisabeth Pologne, filleule du Roi d'Espagne Philippe V et de la Reine Elisabeth Farnese; elle mourut sans alliance.

31. CANUET (Jean-Louis). Né le 16 août 1779 à Paris.
Dragon au 3e régiment le 27 nivôse an V, il servit de l'an V à l'an VII aux armées d'Italie, d'Helvétie, de l'Ouest et d'Egypte.
Devant Alexandrie, le 22 ventôse an VII, il reçut un coup de feu à la jambe droite, et eut un cheval tué sous lui. Démonté à la bataille d'Aboukir, le 30 du même mois, il fut atteint d'un coup de baïonnette au cou, et de trois coups de feu. Brigadier le 1er vendémiaire an VIII, fourrier le 18 germinal an X, maréchal des logis et maréchal des logis chef les 16 pluviôse et 1er ventôse an XI, sous-lieutenant et membre de la Légion D’Honneur les 12 vendémiaire et 25 prairial an XII, il fit les campagnes de l'an XII et de l'an XIII sur les côtes de l'Océan, celles de l'an XIV et 1806 en Autriche et en Prusse.
Lieutenant le 14 août 1806, et capitaine le 22 novembre, il reçut un coup de sabre au bras gauche à Eylau, et combattit à Friedland.
Passé en Espagne en 1808, le général en chef du 6e corps le mit à l'ordre de l'armée pour sa brillante conduite dans la journée du 17 mai 1810. Son régiment (2e de lanciers), concourut en 1811 à la formation de l'armée de Portugal.
En 1812, ce même corps, appelé en Russie, se trouva à la bataille de la Moscowa. Canuet y fut blessé d'un coup de lance à la cuisse gauche. L'Empereur le nomma chef d'escadron et officier de la Légion d’Honneur les 28 juin et 4 décembre 1813.
Il fit la campagne de 1813 en Saxe, et celle de 1814 en France.
Licencié avec son régiment le 7 février 1815, il entra comme Major, le 7 février 1816, dans les chasseurs à cheval de la Marne ( 12e ), et devint chevalier de Saint-Louis le 6 mars 1817, major des lanciers de la garde royale le 22 février 1821 , et lieutenant-colonel du 12e de dragons le 27 août 1826.
Désigné pour servir avec son grade dans le 2 e régiment de grenadiers à cheval de la garde royale, il fut admis le 29 octobre 1828 en la même qualité dans les dragons de la garde.
Reconnu dans son grade le 11 août 1830, après le licenciement de la garde royale, et chargé, le 27 janvier 1831, du commandement du 5e régiment de cuirassiers, le roi le nomma commandeur de la Légion d’Honneur le 29 mars suivant. I1 passa au commandement des 19 e et 1ère  légions de gendarmerie (Lyon et Paris), les 23 mai et 5 septembre 1835.
Maréchal de Camp le 31 décembre suivant, et appelé au commandement du département de la Vienne, il est mort à Poitiers le 8 août 1840 dans l'exercice de ses fonctions.
In « FASTES DE LA LEGION D’HONNEUR BIOGRAPHIE DE TOUS LES DECORES - TOME V° -1847

32. Alias HALINGRE, HALLIN, HALIN voire ALLAIN dans certains actes.

32 bis.Descendance de Catherine et Jean Joseph Baptiste de La Rivière de Montreuil:

               - Pierre Joseph de La Rivière de Montreuil, Receveur des fermes du Roy à Paris (décédé en 1777 à Charleville);

               -  Jean Baptiste de La Rivière de Montreuil de Coincy, maréchal de camp (1709-1797);

               - Catherine Thérèse de La Rivière de Montreuil.

33. AN Z1b 113.

34. On trouve trace de plusieurs achats ou ventes d'esclave par Juan SURIRAY de LARUE (Jean Gabriel François), à Renaud PHILIBERT notamment en juillet 1776 puis en 1777, à Félix DEMATERRE à LA NOUVELLE ORLEANS le 30/04/1784 et le 01/15/1784, mais surtout d'un procès qui l'opposa à l'une de ses eslaves, Maria Juana, en février 1776 est fréquemment cité comme cas d'espèce illustrant la loi appliquée en Louisiane à cette époque.

35. Fervent opposant à la construction du canal latéral à la Garonne, il souhaitait plutôt canaliser le fleuve pour améliorer la navigation. Il projeta ainsi en 1843 la création d'une société (la "Société des Pyroscaphes de la Garonne") dont l'ambition était de naviguer entre Agen et Bordeaux à une vitesse plus rapide que la Compagnie générale de la Garonne.Membre de la société académique d'Agen, on lui doit par ailleurs une publication sur les uranolithes (météorites ou "pierres de foudre").

 

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